Lorsque le procureur général Kolbe évoque le crime de Rudolph Lakonda, Derrick se souvient : il y a quinze ans, Lakonda avait tué sa femme. Kolbe, qui représentait à l'époque le ministère public dans le procès, avait exigé la peine maximale. Son réquisitoire, sur la base duquel le tribunal avait condamné Lakonda à perpétuité, avait attiré l'attention générale. Bénéficiant d'une grâce, Lakonda a été remis en liberté anticipée. Sa première initiative d'homme libre le conduit au domicile de M. Kolbe, qui est très surpris de cette visite malvenue. Les menaces de vengeance pour son réquisitoire le surprennent encore davantage. Que pense l'inspecteur principal Derrick de ces tentatives d'intimidation : doit-on les prendre au sérieux ?